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Messages : 62 Date d'inscription : 14/10/2007
| Adminhappiness is forged in the fires of hell | | |
Lun 29 Déc - 21:34 |
| ~ Secrets de Famille ~ Décembre touche à sa fin et les vacances ont vu venir une nouvelle vague d'améliorations sur Secrets : tout d'abord, la FAQ s'est vue dotée d'une page HTML lui étant dédiée, de même que les personnages. De plus, deux nouveaux personnages ont fait leur apparition : Léandre et Cordélia Holingren, tous deux serviteurs, mais recelant eux aussi de nombreux secrets et le personnage de Valerian Tyll est désormais joué par Sève/Théodosia. Le contexte a été remanié dans une version plus complète ainsi que le topic concernant les lieux à disposition, qui devient ainsi plus attrayant. L'en-tête a également été légèrement rallongé pour paraître plus accueillant, un peu réorganisé ; enfin, Secrets accueille un nouveau partenaire, Palragdar, un forum chronologique se déroulant sur une île. Nous vous invitons à y jeter un coup d'oeil^^ Le premier chapitre s'est clôturé sur la mort de Friedrich, probablement dûe à un assassinat et annoncée au beau milieu du dîner. Le deuxième chapitre, Vitriol Romain, débute donc ce soir dans un contexte tendu, où chacun est en droit de soupçonner son voisin d'être l'assassin. Jezebel a pour sa part promis de faire payer le meurtrier de son père, mais n'est-il pas lui-même susceptible d'avoir commis ce crime ? Quoi qu'il en soit c'est une bonne opportunité pour nos personnages de mener leur petite enquête au château... Les premières consignes sont donc données ! - Spoiler:
Père… mort. Malgré son état lamentable, je n’osais croire jusqu’à présent qu’une chose pareille pouvait arriver – et pourtant Hildegarde n’aurait aucune raison de me mentir. A moitié effondrée entre les bras de l’infirmière, Cordélia, elle bredouille qu’au moment d’aller chercher Père afin de savoir s’il pouvait ou non rejoindre la réception, elle l’a trouvé étendu sur son lit, du sang sur sa gorge. Sous le choc, je ne parviens pas à répondre.
Mon Père… mort. Père. Mon Père qui me paraissait invincible jusque-là, mon Père incroyablement mauvais, presque trop pour mourir. Non… Ce n’est pas possible. J’ai l’impression de revivre le cauchemar de la mort de Mère. C’est pareil. Exactement pareil.
Blanc comme un linge, je tends une main à Hildegarde, tant pour la rassurer que pour me retenir à quelque chose. Au lieu de cela, c’est Cordélia qui saisit mes doigts et me soutient. Hargreaves et quelques autres se sont levés, comprenant à retardement ce qu’il se passe. Reprenant peu à peu mes esprits, je hasarde un regard vers Gyllian – elle a levé les yeux vers moi, me fixe, blême, comme si elle savait ce que cette nouvelle impliquait. Elle a sans doute compris, elle aussi : une gorge qui saigne… Notre Père…
Je frissonne violemment, assailli de soupçons que je ne pourrai confirmer que si je vais voir le corps, c’est la seule option qui s’offre à moi. Dans un soupir, j’ordonne à Hildegarde de me suivre jusque dans les appartements de Père, avant de me remémorer mes devoirs envers mes invités. Je me tourne vers eux et, tentant de faire bonne figure, je lance :
- Les circonstances m’empêchent malheureusement de respecter mon devoir d’hôte et d’honorer avec vous ce repas. J’ose croire que vous me pardonnerez si je vous quitte pour me rendre au chevet de mon père… - Jezebel… intervient Hargreaves, esquissant un geste pour saisir ma main – qu’il arrête à temps, heureusement pour lui. Puis-je… Pouvons-nous venir ? - Mon Frère, je tiens pour ma part à voir ce qu’il en est, et chacun ici en a le droit.
La voix de Gyllian est curieusement sombre, ses yeux d’or brillent d’une lueur des plus étranges qui m’arrache un frisson – seigneur… j’ai l’impression de voir dans un miroir le reflet de ma folie. Se levant, elle déclame d’un ton presque nonchalant :
- Je ne connais aucune mort naturelle induisant de se retrouver avec du sang sur la gorge. Elle l’a dit. Je grimace, sans répondre, et me dirige vers les appartements de Père dans lesquels je n’ai jamais eu le droit d’entrer ; je découvre une suite d’immenses pièces sombres, dont la décoration est à dominante verte, plutôt angoissantes. Je sens une ambiance désagréable dans ces chambres et antichambres, mais ce n’est sans doute que mes propres inquiétudes irrationnelles face à sa mort et sa personne… Même mort, cet homme me terrifie.
Il gît là, muet à jamais, paisible dans son sommeil – son sommeil de mort. Si son teint n’avait pas semblé si blafard, si le sang n’avait pas couvert sa chemise éclatante, j’aurais pu le croire endormi – un instant il me paraît avoir retrouvé toute sa superbe de jadis. Ce pli hautain sur sa lèvre inférieure, cette façon dont ses yeux sont fermés, ses mains croisées, c’est…
Je saisis la main de Gyllian, discrètement, et la serre entre mes doigts – sans doute ne comprendra-t-elle pas un tel geste. Elle n’a jamais compris, je crois, les sentiments qui me relient à mon père, pas plus que son obstination à chercher notre malheur. Tant mieux au fond, il vaut mieux qu’elle le croie plein de haine à notre égard, et qu’elle puisse lui en vouloir de cette haine, plutôt que de savoir ce que je sais… Cette abomination-là.
Je n’arrive pas à me débarrasser de ce goût amer…
Lâchant ma sœur, je m’approche doucement du lit et caresse les cheveux du cadavre : ils sont fins comme des fils de soie, argentés, brillants, et couverts de ce sang gluant. Ils ressemblent à ce qu’ils ont certainement été jadis, lorsqu’il étincelait dans sa jeunesse et que sa chevelure avait la même teinte purpurine que la mienne. J’en frémis de dégoût – pour lui et pour moi. Je cherche sur sa gorge quelque trace de ce qui s’est produit – enfin je trouve ce que je cherchais. Un rire sourd s’échappe de mes lèvres. Oh… c’est si grossier… si mesquin… si facile !
- Il a été tué. - J’ai vu une silhouette, Mein Herr, souffle Cordélia en posant sa main sur mon bras. J’ai cru que c’était vous qui veniez visiter votre père avant le dîner, je ne me suis pas inquiétée, c’est seulement maintenant que nous l’avons découvert. - Appelez Mülleimer et … Léandre. Je veux savoir quelque chose.
Le silence règne, les autres invités m’ont suivi, semblerait-il. Je frissonne sans interruption depuis tout à l’heure, le vin coule sur ma main, à la fois glacial et brûlant comme de l’acide, mais il ne me vient pas à l’esprit de l’essuyer. Je suis fixé sur ce cadavre.
J’ai le vertige…
La colère remonte, une fois de plus, plus violente que contre mon indiscret parrain. Il n’a pas le droit de mourir. Pas maintenant, pas comme ça, pas sans rien dire… Mes lèvres forment ces mots sans que je m’en rende compte, je murmure en boucle ma litanie sidérée. C’est totalement impossible – ce n’est pas normal – ce n’est pas logique – ce n’est pas ainsi que ça devrait être. Je chancelle. Il ne faut surtout pas montrer ce bouillonnement, cette émotion trop forte. Fermant les yeux, je ravale ma rage, mon incompréhension, je me force à rester droit – avant de me rendre compte que quelqu’un me retient déjà pour m’empêcher de tomber. Je n’ai qu’à voir la main qui soutient mon épaule pour deviner de qui il s’agit.
- Herr Jezebel, Léandre et Müll sont là…
Sans me retourner vers eux ni vers Hildegarde, je lâche :
- Avez-vous vu qui que ce soit, en-dehors des autres serviteurs, de nos invités et moi-même entrer ou sortir de cette demeure ? - … Non, Mein Herr ... - Quel dommage... et ô combien prévisible.
Je me retourne vers mes invités, serrant les poings à m’en faire blanchir les articulations – je veux oublier ce cadavre à mes côtés, je veux oublier cette douleur-là, maintenant. Mes lèvres dessinent un rictus mauvais.
- Père a été assassiné. Et, surprenant, n’est-ce pas, l’assassin est l’un d’entre vous… - D’entre « nous », mon neveu ? raille Siegfried. Vous vous excluez d’une si belle équation où vous avez une place toute trouvée ? - Quelle raison aurais-je de tuer mon père ? - Vous n’avez jamais eu de bonnes relations… D’autre part vous êtes le mieux placé pour recevoir l’héritage, il est avantageux pour vous d’éliminer votre père avant qu’il ne désigne quelqu’un à votre place. Enfin, vous avez quitté la réception pendant un long laps de temps.
Un sourire moqueur me vient – malgré la situation, je ne peux m’en empêcher. Ma main saisit les doigts rigides de mon père, je ne songe pas à me dégager des mains de Hargreaves qui me retiennent toujours… Je serais coupable de meurtre… moi ?
- Votre raisonnement ne tient pas plus debout que moi, mon oncle. Je n’aurais pas monté toute cette mascarade, contrairement à certains ce que je fais est toujours net et sans bavures, si je devais tuer mon père nul n’en aurait la moindre idée et je ne l’assassinerai pas de manière aussi absurde.
Je dévoile la gorge de Friedrich, tirant sur sa chemise, exhibant deux trous baignés de sang dans sa chair. Une mise en scène pour le moins amusante, l’assassin a voulu imiter les vampires des romans populaires. Un haut-le-corps me prend soudain, je dois me raccrocher à Hargreaves, il me faut un effort de volonté incroyable pour demeurer calme, sans pleurer. Bon sang, je suis fils de comte, peut-être comte moi-même désormais, je n’ai pas à pleurer comme une donzelle !
- De plus je suis sorti voir mon cheval, Hargreaves m’a vu et peut témoigner.
Il acquiesce… mais paraît songeur. Douterait-il de moi ?… lui ? Lui qui a tant désiré – je le sais – la mort de mon père, lui qui promettait si ardemment de me « sauver » ? … Lui qui … Je secoue la tête, je n’ai aucun droit de suspecter qui que ce soit. Un frisson parcourt mon échine, je me détache de Hargreaves et me laisse tomber sur le lit, à côté du corps – je préfère ça au contact de cet homme.
- J’ai toutes les raisons de croire qu’il s’agit de l’un d’entre vous… Mes serviteurs savent… ce qui les attend s’ils se font attraper, eux.
Mülleimer et Hildegarde se regardent d’un air gêné, peu rassuré, blêmissant à vue d’œil. Je caresse machinalement la chevelure de Père – je me ferai un plaisir de leur faire payer. Je serai absolument ravi même… de leur montrer certains petits jeux qui m’ont toujours fasciné. De nouveau je regarde ma montre à gousset, il est dix-neuf heures quarante. Dix minutes seulement se sont écoulées… J’aurais cru que plusieurs siècles étaient passés, déjà. Un nouveau frisson me parcourt, je détourne la tête pour surprendre à point nommé un regard équivoque de Marion en direction de Ludwig. Qu’est-ce que…
Quelle importance après tout… J’ai d’autres soucis.
- Voilà donc une raison de vous parler de l’héritage, grincé-je. J’ai contacté récemment le notaire qui doit nous rejoindre avec le texte exact du testament de Père, je suis l’exécuteur testamentaire… Il est d’ailleurs très inquiétant qu’il ne soit pas encore là.
L’orage qui gronde semble vouloir me donner tort, m’assurer que n’importe qui aurait été coincé chez lui par une pluie aussi diluvienne. Oui, sans nul doute… C’est sans doute cela.
- Herr Jezebel, lance soudain la voix d’un serviteur, tenant une lettre à la main. Un messager de la ville vient de porter cela pour vous.
Intrigué, je déplie la missive. Lorsque je prends conscience de son contenu, elle me tombe des mains, révélant à chacun un message tracé à l’encre brune en pattes de mouche et doté d’un post-scriptum plus illisible encore.
Nous avons le regret de vous faire part du décès du regretté Maître Balghaur, notaire du village, dans la journée du ** août. P.S. : Il semblerait que Maître Balghaur ait été assassiné sauvagement, comme dévoré par une bête sauvage. Soyez sur vos gardes, Herr van Kraft.
Consignes : l'orage empêche désormais toute allée et venue hors du manoir, vous êtes coincés à l'intérieur de la demeure, avec un cadavre et un notaire dévoré par les bêtes. Jezebel jure son innocence, mais au fond il est tout aussi suspect que chacun d'entre vous, n'importe qui aurait pu agir en utilisant son retard à la réception comme un prétexte... Il est donc évidemment hors de question de donner le bal, certains peuvent choisir de mener l'enquête (pour savoir qui est l'assassin et peut-être éviter de mourir soi-même, car un tueur a tout intérêt à éliminer ceux qui sont prioritaires sur lui dans la liste de l'héritage ou pour trouver le trésor caché dans les murs de la demeure sous un fallacieux prétexte). D'autres pourront préférer se retrouver au calme... Dans tous les cas... je vous souhaite bonne chance.
Dans les chroniques, toutes les chroniques semblent en état de stagnation totale ; seules deux nouvelles chroniques ont apparu ce mois dernier : une traitant d' Amalberga, mère de Jezebel et Gyllian ; l'autre racontant la rencontre entre Kail et Béatrice. Globalement le forum est toujours très actif ! Il n’est pas encore trop tard pour nous rejoindre et assister à la fête de la lignée sanglante... Brushes Horizontal Dividers by MouritsaDA-Stock
Nous comptons à ce jour 18 joueurs incarnant 22 personnages |
| Messages : 62 Date d'inscription : 14/10/2007
| Adminhappiness is forged in the fires of hell | | |
Dim 1 Fév - 17:55 |
| Secrets de Famille De très grands changements ont vu le jour sur Secrets, à commencer par un changement d'adresse ; nous sommes désormais sur un forum php : Secrets v.2. Remerciements au passage à 'Christa qui héberge cette nouvelle version sur son serveur. Outre ce déménagement, diverses améliorations ont été apportées à Secrets de Famille. Toutes les données informatives (règlement, contexte, etc.) se trouvent désormais sous forme de pages HTML pour une navigation plus facile. Il existe de plus, désormais, une section de résumés des chapitres qui permettra à chacun de s'y retrouver plus aisément, ainsi qu'une chronologie générale qui reste à compléter. Au niveau des personnages, un dernier Personnage Joueur a fait son apparition, Lorelei Vogelgesang, joué par Shinzô. Le rôle du Père Franz a été repris par Sthyx et Gyllian est désormais jouée par Belladonna, celui de Léandre est joué par Twilight et celui de Cordélia par Maddy. De nouveaux PNJs sont également apparus, des serviteurs : Rupert, le chef palefrenier, Otho, le chef jardinier, et Katarina, servante de Katje. Les personnages externes à l'intrigue sont plus nombreux, ainsi pouvez-vous désormais trouver les fiches de Diana van Ruthven, mère d'Ada Silke, Adolf von Salvard, père d'Aloïs, Liam Hargreaves, père de Dorian et Franziska, grand-mère de Dorian et Ada. Il reste un PJ libre : Zana Komatski.Au niveau de l'intrigue, Mülleimer a été envoyé au village enquêter sur la mort du notaire, pour le moins mystérieuse. Sous l'orage qui gronde il doit se frayer un chemin jusqu'au village, tâche qui n'a pas l'air des plus aisées... de son côté Léandre doit fouiller le manoir pour trouver tout objet susceptible d'avoir causé la mort du comte : aiguilles, épingles, poisons, drogues... Quant à Alecto, la tsigane, elle se trouve désormais en possession d'une lettre que lui a adressée Jezebel. Le jeune homme paraissait s'attendre au meurtre de son père et demande à la bohémienne et ses amis d'enquêter pour lui, mais cette demande ne cache-t-elle pas autre chose ? Les relations entre personnages se font et se défont... L'assassin se cache parmi eux. Et chacun désormais est en droit de se demander qui sera le prochain à se faire tuer. Au niveau des chroniques, celle de la fête d'Halloween prend enfin son essor avec de nouvelles consignes... En effet tous les invités ont désormais pris l'apparence de leurs costumes, Jezebel est devenu un véritable vampire, Siegfried un loup-garou... Bref la soirée n'est pas placée sous les meilleures augures ! Rejoignez-nous... |
| Messages : 62 Date d'inscription : 14/10/2007
| Adminhappiness is forged in the fires of hell | | |
Jeu 16 Avr - 14:48 |
| Secrets de Famille L'activité de Secrets a connu des jours meilleurs mais le forum a quand même vu plusieurs améliorations ces derniers temps : pour commencer, c'est désormais le pseudo du joueur et non celui du personnage qui est affiché dans les zones hors-jeu ; un code est en cours d'élaboration pour permettre d'afficher les personnages joués dans le profil. La F.A.Q. a de plus été enrichie de plusieurs questions concernant les moeurs de l'époque, je vous invite à aller la consulter par ici. La Chronologie Générale a été complétée et enrichie avec les divers éléments de la soirée écoulée. Le rôle de Zana Komatski a été repris par Mitoko et celui d'Emeline par Twilight, seul celui de Valerian Tyll est désormais disponible. Le rôle de Mülleimer est à demi pnj, sa joueuse actuelle n'ayant pas le temps de s'en occuper présentement. Il reste encore une possibilité de nous rejoindre, par conséquent, si l'envie vous en prend ! L'intrigue avance peu à peu, Léandre a fouillé les chambres des invités et ses découvertes sont plus qu'intéressantes, elles ont permis de mettre au jour plusieurs indices suspects et donc d'accuser certains des convives. Les tsiganes semblent être les coupables les plus envisagés, Cassandre possède des drogues et des seringues qui auraient pu permettre d'empoisonner Friedrich et un chiffon plein de sang a été retrouvé dans une des chambres des bohémiens. La chambre de Lorelei Vogelgesang est également suspecte, il s'agit d'une véritable armurerie et les multiples couteaux qu'elle recèle auraient pu être des armes dans ce crime, de mêmes que les couteaux de lancers découverts chez Siegfried von Herzen. Celle de Gyllian van Kraft recèle également des poisons violents et dans celle de Ludwig von Rosenrot Léandre découvre une aiguille qui pourrait être exactement adaptée au meurtre de Friedrich... ... Mais hormis ces quelques chambres les autres semblent trop normales. A moins peut-être qu'il ne faille se préoccuper de certains détails troublants ?... Les draps froissés de Dorian Hargreaves ? Le fait que Kail Wyhlem, Ada von Ruthven et Aloïs von Salvard se soient enfermés dans la chambre de ce dernier pendant quelques temps ? Le double-fond de la valise du peintre, Wyhlem ? Les armes dissimulées entre les vêtements de deuil de Marion von Rosenrot ? La mallette interdite de Julian ? La fiole à demi-vidée de son contenue que Léandre a trouvée dans les couloirs ? Tout cela est bien mystérieux et l'assassin a de fortes chances de se dissimuler parmi les plus discrets des convives. La quête de l'héritage va se faire plus pressante, certainement, à un détail près : le testament se trouve certainement chez le notaire et Mülleimer ne l'a pas encore ramené, qui sait, peut-être recèle-t-il quelque chose auquel on ne s'attend pas... Quoi qu'il en soit Jezebel van Kraft se comporte déjà comme s'il était comte et s'est permis de repousser Emeline von Morgenstern, la demoiselle à qui son père l'avait fiancé. Les ténèbres se referment sur la lignée sanglante... Il est encore temps de nous rejoindre. |
| Messages : 62 Date d'inscription : 14/10/2007
| Adminhappiness is forged in the fires of hell | | |
Sam 16 Mai - 18:46 |
| Secrets de Famille Secrets de Famille atteint son neuvième mois d'existence et reprend largement du poil de la bête. De fait, de nombreuses améliorations ont été apportées depuis avril, tout d'abord au niveau programmation :- Dans les zones rp, le pseudo du joueur s'affiche sous le nom du personnage et sous l'avatar s'affichent les caractéristiques du personnages ; - Dans les zones hors rp, les joueurs peuvent afficher un avatar personnel, un rang personnel et c'est le nom des personnages qui s'affiche sous l'avatar ; - L'arbre généalogique dans la zone des personnages devient cliquable : cliquer sur le nom d'un personnage permet d'accéder à une fiche de personnage complète. Le procédé se généralisera sous peu. D'un point de vue moins technique, un topic d'explication de ce qu'est une chronique a été posté dans "De l'Autre côté du Miroir" afin de permettre aux débutants en matière de forums chronologiques de comprendre de quoi il s'agissait. De plus, pour faciliter la lecture des topics d'explications, certains termes ont été mis en valeur. Au niveau personnages, le rôle de Franz a été supprimé et passé en PNJ. Le rôle de Mülleimer est repris à temps plein par Athénaïs la Rouge et le rôle de Valerian Tyll est toujours libre. Le chapitre deux est enfin clos et le chapitre trois est enfin ouvert !Le deuxième acte s'est clos sur le retour de Mülleimer précédemment envoyé au village pour enquêter sur la mort de notaire, un retour mouvementé puisque le jeune valet n'est pas seul mais accompagné d'un curieux homme en guenilles qui prend Jezebel pour le comte défunt. La fouille de Léandre a permis de mettre au jour une potentielle arme du crime, un acide violent appelé vitriol romain... et pourtant un nouveau mystère s'ajoute. C'est l' Acte Trois, Le Visage de Ton Double qui débute. Ce chapitre commence avec une énigme, celle de l'homme en guenilles qui n'est autre que l'ancien croquemort du village ; il permet aussi de scinder les personnages en deux groupes. L'un, formé de Jezebel van Kraft, Dorian Hargreaves, Siegfried von Herzen et Gyllian van Kraft, retourne à l'office du notaire pour compléter un peu l'enquête de Mülleimer. L'autre reste au château et peut se creuser la tête sur l'énigme du croquemort mais aussi accéder à la bibliothèque de Jezebel qui peut se révéler intéressante... Au niveau des chroniques, la mode est aux récits de vie : Gyllian van Kraft raconte son enfance et sa rencontre avec Kail Wyhlem dans De couleurs et d'ors ; Dorian Hargreaves narre diverses périodes de sa vie, plus ou moins récentes dans Délices Damnés ; Léandre Holingren raconte sa rencontre avec un petit renard dans S'il te plaît, apprivoise-moi. De plus, une chronique un peu originale a vu le jour entre Léandre Holingren et Cassandre Nyx, exprimant l'hypothèse que Léandre veuille devenir un tsigane, ici. Vous pouvez encore nous rejoindre... |
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